Les yeux pétillants des enfants

C’est tellement beau de voir des enfants aux yeux qui pétillent, qui sourient ou qui rient, d’une façon si irrésistible que les personnes autour ne peuvent s’empêcher au moins de sourire.

Cette joie saine met de la Vie tout autour, et la légèreté se diffuse sans obstacle…

Il devrait y avoir plus de chansons qui en parlent, plutôt que des chansons d’amour où, pour la plupart, une personne au moins d’un couple supplie l’autre de l’aimer! Oui, je suis un peu dure; mais je ne me sens pas transportée de joie quand j’écoute ces mélopées, quelle que soit la beauté des paroles.

Je préfère voir et entendre un enfant rire à pleine gorge et simplement le voir heureux.

“Love actually, is all around” :-)

I remember that sweet movie. The title says it all.

Oui, l’Amour est présent partout.

Nous l’oublions parfois, à force de nous forcer à ne voir que ce qui ne va pas. Personne ne nous oblige à nous assoir devant la télé à l’heure du fameux “Journal”; ni à lire un journal-papier dont les informations semblent sélectionnées pour nous amener à croire que le monde s’effondre… A bien y réfléchir, cela fait un très long moment qu’il s’effondre chaque jour… A se demander si chaque nuit crée un nouveau monde, pour qu’il puisse s’effondrer le lendemain…

Je peux éteindre la télé, et ne pas lire ce journal. Et pourquoi pas le faire pendant une semaine, comme un défi à moi-même? Le mauvaises nouvelles ne nous manqueront pas. Et si une personne bien intentionnée veut nous donner les dernières infos. Arrêtons-la par ces mots “As-tu de bonnes nouvelles?” Si oui, tant mieux; sinon à nous de lui en donner.

Oui, il y a de bonnes nouvelles. C’est juste que, souvent, nous ne regardons pas dans la bonne direction. Il est peut-être temps de commencer?

Des écrits, à partir d’une “vision” et de ressentis

Document formaté à venir – Conditions de publication en réflexion:

La première partie de la mise en mots, par écrit, de perceptions et ressentis liés à une vie est achevée. Il m’était impossible de m’arrêter avant d’avoir rédigé toutes les grandes lignes de cette vie, et encore! Il m’a fallu clarifier et en arriver à la suite logique de la “vie de base” pour être comme “libérée”. Mais tant que le récit n’avait pas été transmis, il me restait un poids, comme une dette. J’espère que ces écrits ouvrent un magnifique chemin à leur premier lecteur, le protagoniste.

Il m’en reste beaucoup d’autres à transformer en écrits… Affaire à suivre.